Quatrième de couverture :
Il aurait préféré mourir à la place d’un frère.
Elle a mis sa vie de côté pour l’amour d’un fils.
Deux âmes sœurs peuvent se croiser un milliard de fois sans même se voir, trop aveuglés par leur propre douleur. Et puis vient le temps d’une seconde chance.
Rongé par son passé, il tente de ne pas sombrer.
Vingt ans déjà qu’il porte le blouson des Wild Crows, sa seule famille. Pour eux, il est prêt à tout sacrifier.
Quand l’une des filles du club se trouve menacée, le président le charge de veiller sur elle et son fils. Gale va devoir mettre de côté son indépendance au risque de se perdre lors de ce rapprochement forcé. Les secrets inavoués finissent toujours par éclater au grand jour.
Face au danger qui rôde, les Wild Crows devront rappeler à tous que les corbeaux ne sont pas morts.
Ils vont reprendre la place qui leur est due, même s’il faut pour cela renouer avec de vieux démons.
L’Avis d’Eric :
J’attendais avec grande impatience ce spin off sur l’univers des Wild Crows car il porte sur Gale.
Ce personnage méritait son propre livre et Blandine nous l’a offert. Je dois dire que je l’ai dégusté telle une pâtisserie haut de gamme, à petites bouchées.
Comme toujours Blandine manie à merveille les sentiments et l’action. Il y aura du danger et une intrigue. Sincèrement on est happé dans l’histoire.
Mais l’action ne fait pas tout car sentiments il y a, et c’est un vrai délice de voir Gale et sa dulcinée se tourner autour. Leurs joutes verbales sont succulentes à souhait. Encore une fois ici on n’est pas dans un schéma de coup de foudre mais plutôt dans quelque chose qui se crée avec le temps. Et comme on dit les corbeaux s’apparient pour la vie donc la précipitation n’est pas de mise.
J’ai beaucoup aimé que l’on retrouve tous les membres emblématiques des Wild Crows tout au long de l’histoire, cela m’a donné la nostalgie de la série et une envie irrésistible de la relire encore.
Vous l’aurez compris j’ai adoré ce roman et je ne peux que vous le conseiller, même s’il peut se lire indépendamment, mieux vaut lire la série avant pour l’apprécier à sa juste valeur.
Toshokan 