Quatrième de couverture :
Les Wyvernes sont des bikers redoutables. Le casier judiciaire de leur mystérieux chef, Rogue Hellaby, est aussi épais que son poing. Tous ont un passé trouble dans l’armée ou la police et servent désormais les intérêts d’un certain Horatio Trap, le salopard manipulateur qui les a recrutés un par un.
Quand Rogue reçoit l’ordre de kidnapper et garder en otage le fils d’un magnat du trafic de drogue, il ignore qu’il n’a jamais eu affaire à un captif comme Orlando de la Peña. Orlando est un enragé. Pas parce qu’il est retenu prisonnier, mais parce que sa captivité l’empêche de s’envoyer en l’air dans son club SM habituel. Rogue découvre alors que la seule façon de « gérer » son otage consiste à devenir son Dom.
Mais le père d’Orlando tient à récupérer son rejeton… et les Wyvernes vont devoir livrer une bataille qui pourrait bien les mener à leur perte.
L’avis d’Eric :
Alors une nouvelle sortie MM dans la toute fraîche collection Sexy stories de Milady.
On ne va pas se mentir ce n’est pas la profondeur du texte qui caractérise cette collection, un gros défaut de base est qu’elle est constituée de petites histoires qu’il est difficile de développer. Pourtant j’ai bon espoir sur cette série car justement c’est une série mais est-ce vraiment un bien d’espérer…
Ici on a une histoire avec des bikers, des armes et du sexe, notamment de la domination. Vous me direz donc un cocktail explosif.
Certes cela se lit bien et vite mais c’est là que le bât blesse, on n’arrive pas à ressentir grand chose du fait de la furtivité de l’histoire. Des développements sont nécessaires pour alimenter nos sens, là ce sont tout juste des préliminaires…
Les personnages se révèlent intéressants et permettent de donner un peu de corps à l’histoire mais ils ne sont qu’effleurés.
En résumé, une trame rapide mais qui peut offrir beaucoup sous peine d’être développée un tant soit peu. Une lecture agréable sans plus, mais quand même l’envie de lire le tome 2. Pour moi ce type de lecture est vraiment sans prise de tête et parfait pour les salles d’attente…
Toshokan 