Sortie le 17 Février chez Dreamspinner Press
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Une Portion d’amour
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Une portion d’amour (Les arômes de l’amour t. 2)
Quatrième de couverture :
Sebastian Franklin a attendu longtemps avant de pouvoir faire ses preuves en tant que responsable de salle du Café Belgie, mais sa première nuit en charge du restaurant alors que Darryl, son patron, est en vacances, est loin d’être une réussite. Le restaurant est braqué à l’heure de la fermeture, et le bon Samaritain qui a déjoué le vol apporte de nouvelles complications.
Robert Fortier, le nouveau juge du comté, est réticent à occuper ce poste. Il est bien au fait qu’avoir une vie publique n’est pas toujours chose aisée, spécialement quand votre vie privée fait de vous la cible idéale des battages médiatiques. Malgré cela, Robert apprécie la compagnie de Sebastian, et Sebastian, qui n’est jamais contre une portion de bonheur, a un penchant pour sa personnalité publique favorite. Mais Sebastian n’est pas sans problèmes, lui non plus – une situation familiale chaotique et un ex en difficulté lui mettront la pression alors qu’ils se débattent pour démarrer cette nouvelle idylle.
L’Avis d’Eric :
Nous voici de retour au Café Belgie, mais avec en héros cette fois ci le personnage de Sebastian.
Sebastian est un homme calme et responsable. Cependant le fait qu’il ai été trahi dans le passé par l’homme qu’il aimait, le fait rester sur ses réserves quand à ses sentiments envers Robert.
Robert quant à lui est un homme qui était dans le placard mais au contact avec Sebastian, il va évoluer doucement mais sûrement.
Ici la romance est très très douce, Andrew grey a voulu nous concocter une histoire très sucrée. Point de grand drame, de bad boys, de désirs brûlants, en fait cette histoire serait parfaite pour qui voudrait débuter dans le M/M car elle reste très sage.
Le rythme en lui même est relativement lent. Je n’ai pas l’impression qu’il s’agisse de la meilleure des séries de cet auteur. Ce n’est pas que ce n’est pas bien écrit, tout y est au niveau de la construction, un homme renfermé sur lui-même, les problèmes de l’homophobie et d’autres drames, mais la manière de l’aborder est trop lente pour les lecteurs confirmés de M/M.
Je verrais cette histoire comme un bonbon à sucer longtemps mais dont on a qu’une envie : croquer dedans pour en extraire tous les sucs. En résumé une romance mignonnette et douce voir trop.
Toshokan 