Sortie chez MxM Bookmark le 10 Août 2014
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Un parfum d’été
Quatrième de couverture :
L’amour, comme toutes les choses de l’univers, ne peut être détruit. Mais au fil du temps, il peut changer.
Les chaudes nuits du Texas étaient synonyme de solitude pour Ben avant que son cœur ne commence à battre au rythme de deux mots : Tim Wyman. De toute évidence, Tim a un corps parfait et une vie idéale, mais quand ils se rencontrent à cause d’une simple collision – pas vraiment accidentelle – Ben découvre que la vérité est rarement aussi simple. Si gagner le cœur de Tim s’avérait être une quête quasi-impossible, le garder est encore plus difficile quand la famille, la société et les émotions menacent de les séparer.
Un parfum d’été est une histoire d’amour qui se déroule sur plus d’une décennie et qui commence lorsque deux jeunes garçons découvrent ce que signifie être amis, amants et parfois même ennemis.
L’Avis d’Eric :
Je dois dire que j’ai un avis mitigé sur ce livre car l’émotion ressentie n’a pas été linéaire.
Le livre se décompose en deux parties et j’ai beaucoup plus apprécié la première que la seconde. La première est vraiment en rapport avec le titre et il n’y a rien de plus beau qu’un amour d’adolescent, c’est frais, mignon et puissant.
On voit au fur et à mesure comment Tim et Ben vont se rapprocher, et tout au long de l’histoire on ne peut qu’espérer que tout va bien se terminer qu’ils vont être heureux. Pourtant rien n’est simple… Leur romance est touchante au possible et c’est un vrai bonheur ces petites rencontres, cette lente séduction…
L’auteur joue très bien avec la pression publique et familiale au niveau du coming out. J’ai trouvé cet aspect très réussi.
Concernant la seconde partie, la fraicheur et l’intensité ont comme disparu, certes les personnages sont adultes mais ça m’a fait un choc, à tel point que j’ai cru ne pas avoir le même auteur parfois.
En résumé un livre inégal avec un début qui pourrait vous faire fondre mais une fin un peu bâclée selon moi, certes le résultat est satisfaisant mais cela aurait pu être beaucoup mieux si l’auteure avait mieux travaillé sa seconde partie.
Toshokan 