Médecine Dure de Lucas Bellini

Sortie le 31 Janvier 2012 chez H@O Editions

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Médecine dure

Quatrième de couverture :
Sous des dehors innocents, Hugo est un garçon déluré et sûr de lui. Car non seulement il est jeune et bien foutu, mais il cache dans son boxer un outil de plaisir hors du commun. Alors, si son médecin de famille le fait fantasmer, il n’hésite pas à inventer le prétexte le plus farfelu pour se faire examiner sous toutes les coutures !
Stupéfait par tant d’audace, le beau toubib se laisse rapidement séduire et s’offre une pause plaisir bien méritée.
Au fil des rendez-vous et des rencontres, Hugo lui réservera beaucoup d’autres surprises, beaucoup d’autres voluptés, quitte à faire appel à des renforts, comme Abdou, le copain africain que tous surnomment « Black et d’équerre »…

L’Avis d’Eric :
Le résumé de ce livre ne laisse aucun doute vis à vis de ce que nous allons trouver dans ce livre.

Les scènes sont efficaces et hots à souhait comme il se doit dans un Porn’roman. Par contre nous trouverons quelques manquements dans l’histoire car je veux bien que la tension sexuelle doive être maintenue à son comble mais certains détails choquent car il arrivent comme des cheveux sur la soupe, comme si le seul but de l’auteur avait été de les placer la pour pouvoir introduire une scène sexuelle.

Il y a une petite histoire tout de même et un cheminement pour envelopper toutes ses scènes sexuelles mais la fin est trop abrupte, et surtout on a l’impression à certains moments de la lecture qu’il pourrait y avoir une légère romance mais que l’auteur s’est tout simplement retenu de l’évoquer. Cela crée un manque difficile à détecter dans notre lecture mais perceptible tout de même.

L’auteur n’a pas voulu que son livre soit un message de prévention, car ce livre est un doux fantasme et il le précise dès le départ, ce qui permet de bien poser les bases. De ce fait les pénétrations se font sans préservatifs et le stupre coule à flot, parfois même trop 😉

En résumé un livre très hot qui nous donne la fièvre sans problème mais les faiblesses du scénario nous gâchent notre plaisir parfois…