Quatrième de couverture :
Lizéa, dix-neuf ans, décide de quitter Avebury pour retrouver la trace de ses parents, disparus à l’aube de son enfance. Elle espère ainsi percer les mystères qui entourent ses origines et mieux appréhender ses étranges facultés. Mais quand Samuel, un garçon à la beauté surnaturelle, la sauve d’une attaque à main-armée, sa quête emprunte alors un autre chemin. Samuel Harper n’est pas comme les autres garçons. Énigmatique et protecteur, il est bien déterminé à guider Lizéa vers son incroyable destinée.
Rejoignez le Cercle de Fort-William, aux côtés de Lizéa et Samuel, pour découvrir qui sont ces êtres aux pouvoirs élémentaires qui préservent notre monde. Vous serez, alors, à la croisée des destins, au cœur d’une romance passionnée mais interdite.
L’avis d’Eric :
C’est avec beaucoup d’impatience que j’ai débutée ma lecture. J’ai d’abord été conquis par le style de l’auteure.
Elle sait nous intéresser à son récit tout en l’explicitant de telle manière qu’on y adhère.
Elle va revisiter la mythologie grecque d’une manière assez novatrice. L’univers est très bien construit. J’aime beaucoup que cela s’articule autour des 4 éléments.
Le récit se construit autour d’une intrigue qui se révèle petit à petit mais tout en conservant des parts d’ombre de manière à nous rendre accros. On a envie d’en savoir plus au fur et à mesure de notre avancée.
J’ai bien aimé les personnages de Lizéa et de Samuel tout en étant intrigué par son côté énigmatique. Il souffle parfois le chaud et le froid. Lizéa est une héroïne qui possède sa propre force. Elle est actrice du récit et ne se laisse pas simplement portée par celui-ci. J’ai juste été un peu dubitatif par rapport à certaines de ses réactions.
Au final cette lecture est très concluante pour un premier roman. Je lirais avec grand plaisir la suite car cette histoire est addictive. Je pense que le style de l’auteure va s’affirmer plus, on sent une progression au fur et à mesure du roman. En tout cas les éléments indispensables à un bon roman sont presque tous présents.
Toshokan 