
Quatrième de couverture :
Grier Woolworth passe ses nuits à parcourir les rues du centre-ville de Savannah pour conter à des touristes des histoires d’âmes perdues et autres tragédies à vous glacer le sang. Exception faite de la crinoline et de l’ombrelle, ce n’est pas le pire des boulots. Et même si le salaire est merdique, les pourboires suffisent à payer les factures d’électricité de son propre manoir hanté, et à approvisionner les placards en Ramens.
Pour une ex-assistante nécromancienne qui se cache parmi les humains, la vie est presque normale. Jusqu’au jour où la société qui a excommunié Grier lui offre une seconde chance d’être davantage qu’une fille ordinaire. Dommage qu’on n’ait pas jugé bon de la prévenir qu’être extraordinaire peut vous faire tuer.
Avertissement : Ce livre raconte l’histoire d’une ex-tôlarde/ex-héritière, qui a une perruche zombie pour animal de compagnie et dont le voisin n’est autre qu’un ex-soldat/ex-béguin. Attention, tous ces ex pourraient bien en cacher d’autres.
L’Avis d’Eric :
Une nouvelle série d’Urban Fantasy, en plus sur un thème peu usité : les nécromanciens, il ne m’en fallait pas plus pour craquer.
Je dois dire que j’ai vraiment apprécié ma lecture. L’univers qu’a créé l’auteure est très riche, il demande au départ un peu de concentration pour intégrer la hiérarchisation des protagonistes.
J’ai apprécié les notes d’humour entre Grier et les autres personnages, et encore plus avec Wolly, la maison hantée. Elle apporte vraiment une note inédite et pleine de peps.
Grier est un personnage auquel on s’attache et que dire de Boaz qui nous fait craquer…
Par contre au point de vue intrigue, celle-ci est assez simple, l’objet de ce premier tome assez court est de poser les bases en premier lieu. Je pense que l’intrigue se complexifiera dans les prochains tomes, du moins je l’espère.
En tout cas j’ai passé un excellent moment de lecture et j’ai hâte de poursuivre avec les prochains tomes.