Quatrième de couverture :
play·boy ˈplāˌboi/
Nom : Homme riche passant son temps à s’amuser, à se comporter de façon irresponsable ou étant sexuellement immoral.
Synonymes : « Socialite », hédoniste
Noah
J’ai la belle vie, de l’argent, je suis plutôt beau gosse et j’ai toutes les femmes que je veux.
Jusqu’à ce que, je la rencontre et mon monde se retrouve sens dessus dessous et elle ne veut rien avoir à faire avec moi.
Kaleigh
Ma devise : Ne jamais revoir le même homme deux fois. J’ai moins de chance d’avoir mon cœur brisé en la suivant.
Jusqu’à ce que mes yeux rencontrent ceux du seul homme pour qui je briserai cette règle.
Elle pense qu’elle peut s’enfuir. Que je la laisserai partir.
Il pense qu’il peut gérer une femme comme moi.
Il n’a aucune idée de ce qui l’attend.
Un homme qui a déjà tout n’a besoin que d’une seule et unique chose. Une tentatrice.
Regardez-moi tenter le Playboy
L’Avis d’Eric :
Après avoir lu l’excellent premier tome de cette série, je n’ai pu résister aux sirènes du second opus.
Ici nous avons affaire à la soeur de l’héroïne du premier tome et le meilleur ami du héros.
Leur histoire sera sensiblement différente, ici point d’animosité cachant un désir exacerbé. Noah et Kaleigh sûrs de leur sexualité ne résistent pas du tout à leur désir et leur attirance l’un pour l’autre. Pourtant ici le personnage qui semble aller à reculons dans cette relation naissante n’est pas celui que l’on croit.
Le playboy est vite conquis mais il aura fort à faire pour convaincre sa dulcinée de la pérennité de leur relation…
Cette histoire se passant en parallèle de celle du premier tome, nous aurons une impression de déjà vu inhérente au fait que nous revivrons beaucoup de passages d’un autre point de vue.
J’ai trouvé que l’humour était moins présent à cause de ce déjà vu. Par contre niveau sensualité, nous sommes bons.
La plume de Natasha Madison est toujours aussi agréable à lire et vive. Elle me conforte dans le fait qu’il s’agit d’une auteure à suivre.
En résumé un tome un peu en deçà du premier mais qui reste tout de même bien agréable à lire. Un bon moment passé…
Toshokan 